Auteur : Régis LEVY | Publié le 24.06.2022 à 00:00 Mis à jour le 24.06.2022 à 02:44
Photo : Courtoisie Le Crystal – Ajava-Riddhi Diskul, Directrice Adjointe du Crystal, fait partie de la troisième génération qui investit dans la gastronomie thaïlandaise en Thaïlande
Chiang Mai élève la famille thaïlandaise au sommet de la gastronomie française !
Idéalement amarré sur les rives verdoyantes de la rivière Ping, à quelques minutes du centre-ville, Le Crystal Restaurant est reconnu comme l’un des meilleurs restaurants de la ville.
Il a remporté de nombreux prix, dont le Thai Tatler’s Award du meilleur restaurant de la gastronomie française. Est-ce une surprise quand on sait que tant son créateur que son propriétaire, ainsi que toute l’équipe de la direction aux cuisines et au service, sont exclusivement d’origine thaïlandaise ? Pas vraiment!
Le Crystal est né il y a 17 ans sous l’inspiration d’un Thaïlandais francophone qui a étudié et vécu trois ans à Bordeaux, terre de bonvivants où l’on aime la bonne chère et les bons vins. Là, il tombe complètement amoureux de la cuisine française et de l’art de la table. De retour dans le royaume, il a souhaité partager cette passion, permettant aux gourmets thaïlandais curieux de découvrir d’autres saveurs pour savourer la gastronomie française dans les mêmes conditions qu’en France. Mais sans que vous ayez à prendre l’avion !
Le contrat a été rempli, au vu des nombreuses récompenses qu’il a reçues, ou tout simplement des réactions extrêmement positives que laissent ses visiteurs sur des plateformes comme Tripadvisor. Il y a des signes qui ne trompent pas.
« La cuisine française est la mère des cuisines »
Aujourd’hui, l’agence est dirigée par Ajava-Riddhi Diskul, le fils du propriétaire. Pour ce faire, il s’appuie sur une équipe expérimentée dans des établissements prestigieux, dont l’expérience a été acquise dans les cuisines d’hôtels 5 étoiles. Le chef de rang et son assistant ont tous deux travaillé plusieurs années au Mandarin Oriental de Bangkok. Garantie d’un savoir-faire irréprochable et irréprochable.
Avec la même passion que lui a transmise son père, M. Ajava-Riddhi Diskul défend académiquement notre gastronomie, sans vouloir déroger à ses standards ou le moins possible. « Je pense, comme mon père, que la cuisine française est la mère des cuisines », s’enflamme-t-il. « Ça va droit au but, toujours en mettant en avant le produit, et c’est très diversifié grâce aux nombreuses spécialités régionales qui composent cette liste de grands classiques.
Cependant, il explique qu’il faut parfois l’ajuster pour plaire aux gourmets locaux. « Comme cette gastronomie est loin de la cuisine thaïlandaise tant au niveau des ingrédients que des saveurs, il faut parfois l’adapter au goût des thaïlandais avec quelques nuances de goût, mais nous essayons de faire penser aux gourmets débutants que les ingrédients principaux doivent être respectés. . Le souci principal de la dégustation doit rester le goût de l’assiette. Si vous achetez des aliments de qualité supérieure, vous n’avez pas besoin de trop les cuire, car leur merveilleux goût naturel est la principale valeur de la nourriture.
« La fusion apporte de la confusion »
Pour assurer la fraîcheur ultime des aliments, en garantissant leurs propriétés gustatives, Le Crystal les livre au quotidien. Tout ce qui n’est pas produit en Thaïlande est bien sûr importé, comme la viande, mais l’offre locale de légumes est énorme, surtout dans le nord. Ce qui est probablement dû à sa cuisine qui, selon M. Ajava-Riddhi Diskul, les utilise beaucoup. « La cuisine française ne convient pas à tout le monde. Par exemple, c’est la saison des champignons en ce moment. Nous avons essayé de les utiliser, mais leur profil gustatif ne va pas bien avec les plats que nous recherchons. J’ai voulu les associer », a-t-il ajouté.
Ne lui parlez pas des touches « fusion » qui seraient ajoutées aux recettes. « Certainement pas! » précise-t-il, « car nous pensons que la fusion peut être déroutante. Et il n’est pas question de trahir l’esprit originel de la gastronomie française. Sa cuisine est riche de saveurs subtiles, de légèreté et de complexité. » Pour le reste, il faut composer avec les plats que les gens acceptent de goûter. Par exemple, tout le monde n’est pas prêt à manger du steak tartare ».
Le meilleur de la cuisine française dans un écrin thaïlandais
Force est de constater que le contrat a été parfaitement rempli. Dans un grand cadre traditionnel de style Lanna, Le Crystal tient toutes ses promesses de fournir un service de haut niveau. Son espace spacieux et lumineux fait la part belle aux éléments forestiers. Les tables sont finement et élégamment recouvertes d’une belle vaisselle, donnant l’impression d’être assis dans un magnifique restaurant français. Les clients qui préfèrent dîner en plein air peuvent profiter de la terrasse, qui surplombe le magnifique jardin et offre une vue magnifique et apaisante sur la rivière et la végétation luxuriante.
Lorsque nous ouvrons une carte qui change tous les quatre mois pour suivre la saisonnalité des produits, nous sommes frappés par la richesse et la densité de ce que nous proposons. Dès les entrées, les authentiques escargots bourguignons se distinguent (pas les écureuils, qui nous sont trop souvent servis) avec leur taille et leur goût impressionnants, que les natifs de Gevrey-Chambertini trouvent très convaincants.
Cependant, le foie gras poêlé à la poêle et les coquilles Saint-Jacques pochées dans son coulis de fruits rouges ou sa crème de truffe peuvent, entre autres tentations, mettre les convives devant un choix difficile.
Et la décision de commander de la viande peut être encore plus compliquée. Filet de bœuf Wagyu, contre-filet ou entrecôte, agneau d’Australie parfaitement roussi et rosé, rehaussé d’une délicate sauce au thym, un magret de canard et sa sauce au Calvados, une cuisse de canard confite… vous ne savez plus où donner de la tête. Les viandes ont été cuites avec précision, les épices sont juste ce qu’il faut, l’assiette est pédante… l’arrivée de chaque plat ravit les sens.
Pour ceux qui aiment les fruits de mer, la salive devrait également être lue ici. Homard et son jus aux spaghettis à l’encre de seiche, gambas poêlées à l’ail, sébaste, poisson des neiges ou saumon apparaissent à la surface de nos envies.
Une cave de haut vol, un service impeccable
Parmi les desserts, n’oubliez pas le soufflé, dessert signature de la maison, qui se déguste avec du chocolat, du citron, de la noix de coco et surtout la sélection royale du Grand Marnier ! Fabriqué avec une durabilité, une consistance et un goût parfaits, il mérite un voyage en soi. Et les classiques crème brûlée, crêpe Suzette, parfait au chocolat ou nougat glacé donnent envie de revenir pour succomber à de nouvelles expériences gourmandes.
Bien sûr, la carte des vins s’élève au niveau des plats. On touche même au Domaine des Dieux avec les 1ers Grands Crus Classés de Bordeaux, comme les Châteaux Mouton Rotschild, Margaux, Haut Brion, Angelus… ou encore Chablis 1er cru « Vaillons ». Vous pourrez même accompagner votre foie gras au Château d’Yquem 2003, Rolls de Sauternes ! Et forcément, l’appel de la bulle en tête du classement est le Champagne Cristal de Roederer (Millésime 2002, une année extraordinaire !).
L’équipe du room service porte une attention particulière aux clients en cas de besoin et se fait discrète en cas de besoin. Et l’ambiance musicale de grande qualité assurée par un orchestre de jazz interprétant quelques standards français ajoute une touche d’harmonie au tableau. Et si le cristal s’avérait être un diamant pur ?
Quel est le salaire moyen d’un thaïlandais ?
Le revenu mensuel moyen par habitant en Thaïlande est de 605 dollars, soit 7 260 dollars par habitant et par an.
Quel est le salaire minimum thaïlandais en euros ? Actuellement, le salaire minimum varie selon le lieu. A Chonbury et Phuket, le salaire minimum est de 336 bahts (9,05 euros) par jour. Le salaire minimum à Rayong est de 335 bahts (9,02 euros) et à Bangkok de 331 bahts (8,91 euros).
Quel est le salaire moyen à Bangkok ?
A titre de comparaison, le salaire moyen à Phuket est de 510 euros et à Bangkok de 641 euros.
Quel salaire pour vivre à Bangkok ?
Le salaire moyen est d’environ 500 € et peut atteindre 700 € à Bangkok. Il faut savoir que la Thaïlande est un pays dynamique et n’importe qui peut trouver un emploi quand il le souhaite.
Quel budget pour vivre en Thaïlande ?
À 20 000 bahts, c’est probablement votre meilleur pari. Mais si vous avez besoin de plus d’espace ou d’un bon emplacement, pensez à payer 30 000 bahts par mois. Si vous le souhaitez, vous pouvez dépenser plus pour la location. Vous pouvez vivre heureux pour 50 000 bahts ou plus par mois.
Comment déménager en Thaïlande ? Vous devrez ensuite demander un visa non-immigrant. Les visas non-immigrants peuvent être délivrés pour le travail, la retraite, les études, etc. La demande doit être déposée auprès de l’Ambassade de Thaïlande à Paris ou une fois sur place. Différents visas conviennent aux Estoniens travaillant à l’étranger.
Est-ce que la vie est chère en Thaïlande ?
Le coût de la vie en Thaïlande est 41% moins cher qu’en France. Cependant, le pouvoir d’achat local y est inférieur de 63 %. En voyage, prévoyez votre budget local d’au moins 40€/jour et par personne (1494 THB/jour).
Quel salaire pour bien vivre en Thaïlande ?
Offrant à un travailleur étranger un salaire moyen de 50 000 bahts contre un travailleur thaïlandais de 19 000 bahts, la Thaïlande, notamment la ville de Bangkok, est la septième ville préférée des Français étrangers.
Comment obtenir Thailand pass ?
Documents nécessaires pour obtenir la Thaïlande Fournissez des informations sur votre vol vers la Thaïlande. ton passeport. votre certificat de vaccination ou un résultat négatif au test antigène ou PCR -72h. votre attestation d’assurance Covid-19.
Quand demander un passeport thaïlandais ? À partir du 1er mai 2022, tous les passagers pourront voyager en Thaïlande, mais devront demander un passeport thaïlandais. Le « Thailand Pass » est simplifié, mais toujours obligatoire pour tous les voyageurs.
Comment demander Thailand pass ?
Le passeport thaïlandais est accessible via tp.consular.go.th (qui remplace l’ancien certificat d’entrée ou COE). Le passager doit ensuite fournir les informations et télécharger les documents nécessaires dans le système.
Quels documents pour le Thailand pass ?
Vous n’avez pas été vacciné ou avez été partiellement vacciné avec 1 test RT-PCR ou antigénique effectué par un professionnel dans les 72 heures précédant votre arrivée en Thaïlande. Billet d’avion. Assurance voyage (Covid-19 > 10 000 USD) Copie du passeport.